21 mars 2009
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12:00
(acrostiche)
Souvenez-vous qu'à l'heure de l'appel charnel,
Omettre de se protéger est inconscience ;
Rien ne peut réparer la moindre négligence.
Tueurs sont les dogmatiques prêcheurs
Effroyablement hors du temps, qui par
Zèle ou bêtise, condamnent des innocents.
Chacun d'entre nous est à la même enseigne
Oubliez ces paroles culpabilisantes.
Unanimes sont les voix de nos médecins,
Votre vie en dépend, surtout préservez-vous !
Et seulement, à l'heure où viendra la sagesse, que de
Rester fidèles sera une évidence, après un
Test vous pourrez alors, délivrés de toute peur,
Savourer votre amour sans le préservatif.
Claudie Becques (20/03/09)
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Poèmes
20 mars 2009
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12:02
Quand l'encre de la nuit noircit ma page blanche,
Que l'intime silence assourdit mon réveil,
Qu'à la pression des mots je ne suis plus étanche,
Qu'aux abysses du temps se débat mon sommeil...
Dis, toi !
Tu rêves à quoi ?
Quand la taquine plume ..............
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Claudie Becques (20/03/09)
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Poèmes
13 mars 2009
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06:00
Version initiale
|
Version dans le respect de la poésie classique
(enfin j'ai essayé)
|
Si la rime classique est vraiment merveilleuse,
- Et quelle admiration je porte à ses auteurs
-
Il m'est égal pourtant d'atteindre leurs
hauteurs
Car tant la considère un peu trop ennuyeuse.
J'ai pourtant essayé de façon
pointilleuse
De satisfaire au mieux quelques
littérateurs
Mais mon âme se perd, mes mots se font
menteurs ;
Que je dusse à jamais rester écrivailleuse
!
Moi j'ai le cœur bohême et très
désordonné
Qui fait chanter mes vers, les fait
papillonner,
Et n'a d'autre ambition qu'être drôle ou
sensible.
Mes poèmes jamais, seront reliés de
cuir
Mais je sais que certains, plus d'un, ont su
séduire
Alors je reste ainsi, puisque telle est ma
cible.
Claudie Becques (04/03/09)
|
L’écriture classique est chose merveilleuse,
- Quelle admiration je porte aux grands
auteurs -
Il m'est égal pourtant d'atteindre leurs
hauteurs,
Car tant estiment qu’elle est souvent
ennuyeuse.
J'ai pourtant essayé de façon
pointilleuse .......
Désolée par respect
pour ceux qui l'ont acheté pour lire la suite
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Claudie Becques (12/03/09)
|
Ce serait sympa de me dire simplement la version qui vous plaît le mieux.
Merci. Clo
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11 mars 2009
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20:00
"Le dernier train" oeuvre de Daniel joux
Lorsque viendra le jour des affligeants
adieux,
Que le cœur déchiré nous te mettrons en terre,
Nous rappellerons-nous tes dires de naguère,
Sur tes vœux pour ....
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(11/03/09)
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24 février 2009
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Les glaces de Jlt7
Quand l'hiver s'évapore aux rayons du printemps
Il flotte sur les jours un doux parfum de
vie
Eclosent
..................
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Claudie Becques (22/02/09)
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3 février 2009
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18:20
Poème écrit pour l'oeuvre de JLT7
Pensif dans les marais de son céleste eden
Le créateur un jour, considéra la scène :
Que n’ai-je dépensé tant d’ingéniosité
Pour en faire la plus belle de la voie lactée !
Si pures et si parfaites j’avais créé ces lignes
Que pour ne les confier qu’à des êtres indignes.
J’ai cru d’intelligence .............
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Claudie Becques
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Poèmes
2 février 2009
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12:11
Un grand merci à Petite Elfe qui m'a inspiré ce
poème grâce au sien "Et
si..."
Au puzzle de ma vie
Ma vie est un puzzle où chaque être a sa place
Imbriqué l'un à l'autre en un immense
chœur
Composant un tableau qui ressemble au
bonheur
De formes dessinées en une unique
trace.
C'est pourquoi l'aube éveille en moi la sourde angoisse
De découvrir le manque d'un bout de mon
cœur
Formant une béance à l'œuvre de
douceur
Que nul autre jamais ne comblerait
hélas.
Toute pièce renferme un peu de mon
amour,
Spécifique et sculpté rien que pour son
contour…
Je redoute l'instant de cet
irrémédiable.
Le temps m'est ennemi car il emporte
tout
Il donne et puis reprend tel un grand
manitou
Immense est son pouvoir face à moi pauvre
diable.
Claudie
Becques (02/02/09)
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Poèmes
29 janvier 2009
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12:03
Claudie Becques
(29/01/09)
Le cirque a déplié son chapiteau géant,
Il flotte dans la ville un petit air de fête.
On rôde aux alentours pour y voir quelque bête :
Une autruche, un lama, peut-être un éléphant.
Un haut parleur diffuse un refrain entraînant
Et la morosité s'envole de nos têtes ;
Le quotidien d'un coup se revêt de paillettes
Et chacun dans son coin redevient un enfant.
Enfin s'en vient le soir de grande effervescence
Où s'installe un public trépignant d'impatience.
Quand s'éclaire la piste s'éteint le brouhaha.
Chacun retient son souffle et vibre ou s'émerveille.
Quand arrivent les clowns, le temps se met en veille :
Jeunes ou vieux les yeux brillent d'un même éclat.
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Poèmes
27 janvier 2009
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14:11
Petit délire... pour sourire....
Je me promène émerveillée
Dans un jardin ensoleillé.
Mais le rosier tout en boutons
Est rongé par les pucerons.
Quand arrive une coccinelle
Venue des cieux à tire-d’aile ;
Des parasites fait festin
A s’éclater les intestins.
Dans une toile une araignée
Accourt et vient l’entortiller
La croque et se la décortique
D’une façon très méthodique.
Petit oiseau dans le lilas
De vers et de moustiques, las,
Saisit de son bec l’arachnide
Et de s’en délecter, avide.
Or, à l’ombre sous l’hortensia
D’un seul œil somnolait un chat
Qui bondit souple et si agile
Pour s’emparer du volatile.
Les babines se pourléchant,
Il s’en va repus vers les champs,
Mais il passe devant un gueux
Qui errait là, le ventre creux.
L’homme fait civet du félin,
C’est moche mais, quand on a faim...
Quand un terrible grognement
Retentit à glacer le sang.
Un ours venu de nulle part
S’avance droit sur le clochard,
Le dévore et se rue vers moi,
Toute paralysée d’effroi.
Un coup de fusil retentit :
Un trappeur me sauve la vie.
Je me réveille dans un cri
En sueur au milieu du lit.
Depuis ce maudit rêve affreux
J’ai jeté mon vieil ours miteux,
Et mis dans mes draps le sauveur
Pour le garder contre mon cœur.
Claudie Becques (06/05/07)
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Poèmes
14 janvier 2009
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18:25
D'après les oeuvres de JLT7
La vie m'a faite ainsi, timide et timorée
J'avance de deux pas et recule de trois,
Ce qui m'est inconnu m'inspire de l'effroi
Mais quand tu prends ma main me voici
rassurée.
De l'amour, on a dit qu'il peut donner des
ailes
Alors pourquoi j'irai monter dans un avion
Puisqu'au creux de tes bras je vis avec
passion
Le plus joli voyage et
exploit démentiels.
Toute une vie à deux est un sacré périple
Et les embûches ont conforté notre couple
Je t'aime ! Je t'aime ! Ne te l'ai-je assez dit
?
Plus le temps s'accélère et restreint
l'horizon
Plus s'efface la peur et l'amour
s'agrandit,
Pour affronter tous deux la dernière
saison.
Claudie Becques
(14/01/09)
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