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L i t t e r r a n c e s...
Merci de partager avec moi |
Que cette journée soit belle et que le bonheur vous accompagne.
Claudie
Trop de projets en tête
et de "pain sur la planche"
pour vous offrir de nouveaux mots,
car voyez-vous
je compte bien mettre en pratique
ceux de René Char :
Etant donné que je ne trouve pas d'illustrateurs pour mes contes pour enfants... je m'y colle !
Pauvres petits !!!!!! (éclat de rire)
Clo
Du 8 au 21 mars 2010 aura lieu le 12ème printemps des
Poètes.
Beaucoup de manifestations se dérouleront dans nos
communes pour fêter l'évènement,
par des ateliers de lecture ou d'écriture.
J'aurai personnellement la chance de participer le samedi 13 mars 2010 à 14 heures
à celui qu'organise la médiathèque de
ma ville d' ARQUES (62)
et qui m'offre, à cette occasion,
la possibilité de promouvoir mon recueil de poésie "Trace".
http://www.bm-arques.fr/bm-arques.fr/
Maya - 4 mois - (Vanessa's cat)
Raymond Bergerot, le poète inconnu dont le nom s'éperdue,
est le promoteur d'un ouvrage à paraître courant mai 2010
au profit des SPA et des refuges
ou organisations privilégiant l'accueil des chats
et prenant en charge "les Chats Libres"
qui souhaiteraient bénéficier de cette intitiative.
Il lance un appel
à tous les POETES VIVANTS (français ou francophones)
pour proposer une de leurs oeuvres en vue de participer à la sélection des
Meilleurs poèmes et textes poétiques et figurer de cet ouvrage :
" LE CHAT DANS LA VRAIE VIE"
ainsi qu'au talent des Peintres et photographes pour l'illuminer,
au nom de "Les Amis de PIMPIN, le chat poète assassiné"
virgilealiasPIMPIN@gmail.com 09 54 62 89 70
et de l'Association AZ'édition
azaide@free.fr
Vous trouverez ci-dessous l'affiche :
Demandez sans tarder les modalités et conditions de participation à :
azaide@free.fr
et signalez que
Clo de Litterrances
vous a guidé jusqu'à lui !
A vos plumes, pinceaux ou appareils photos !
Si je devais te résumer en un seul mot je dirai "générosité".
Comment oublier que tu as fait pour moi 180 km rien que pour venir me soutenir lors de mon animation dans ma commune pour défendre la cause de la Plume et l’Encrier, entrainant dans ton sillage
les deux benjamines de l’Assocation.
Tu brisais ainsi la froideur du virtuel, pour te présenter à moi, timide, gêné... ton petit chien dans les bras, ton chapeau sur la tête avec sa petite plume.
Pas évident de se parler les yeux dans les yeux, alors que nous étions confidents sur le net.
Tu étais déçu que peu de monde se soit déplacé, toi le Bruxellois et moi la petite Ch’ti dans mon bled perdu que tu as eu tant de mal à trouver...
Nous y croyions tellement tous les deux !
La cause nous paraissait juste et noble : défendre la langue française ! Rien que ça !
Nous avions ce point commun que d’avoir la tête dans les nuages...
Sans doute un peu à cause de notre ciel si bas...
Nous partagions encore les mêmes révoltes qui naissent parfois dans le cœur des gens entiers qui ne peuvent tolérer certaines injustices, certaines inerties...
Fallait que ça bouge !
Toi, tu disais et tu faisais...
Tu fonçais même tête baissée...
Tu n’écrivais plus disais-tu, la lecture et la photographie avait depuis ton hospitalisation une grande place dans ta vie, tu envisageais aussi de reprendre la peinture...
Généreux tu l’étais ô combien !
Toujours à t’inquiéter de tout pour les autres, toujours prêt à aider, à se précipiter au secours de chacun... avant même de penser à toi.
Ton humour je le savais, cachait parfois une tristesse, sans doute due à l’impuissance que tu devais ressentir à ne pouvoir faire quelque chose pour tous ceux que tu croisais.
Mais tu ne t’épanchais jamais, tu disais que toi, c’était pas important...
Alors c’est décidé : pas de frites ? pas de "bonne bière" ?
Alors va Frédéric, va rejoindre les braves gens de ta trempe, parce que c’est bien connu : ce sont toujours les meilleurs qui s’en vont.
Toute ma sympathie va vers tes proches : ta femme, tes enfants... à qui j’adresse mes sincères condoléances.
Ton amitié sincère est à tout jamais ancrée en ma mémoire.
Merci d’avoir croisé ma route.
Clo
Quelques poèmes de Frédéric :
Ainsi va la vie
Avis de tempête
Ca tonne au loin, signe de pluie ?
Viendra-t-elle troubler nos envies ?
Le jardin en aurait bien besoin,
Pour l’instant seul compte
ta main dans ma main
pourquoi faut-il parfois
que sans sommation le ciel gronde
et que la tempête éclate en toi ?
Le calme après l’orage,
Apaisant et sage,
Ainsi va notre vie,
Surfant sur les nuages,
Du tonnerre au paradis,
Il ne reste alors que le silence
Pour attiser notre impatience.
Tes yeux se voilent,
Tendre clair obscur,
Des bises en rafales,
Jusqu’au prochain coup de foudre…
Papabul.
Comme le temps passe
Les adieux ont duré
tout un après-midi,
les petits écoliers étaient venus nous voir
avant le grand départ.
Ils nous ont bien fait rire
Raphaël imitant
son maître de manège
Dorothée minaudant
en coquette du Siècle
et Benjamin mimant
le rêve d’un timide
Puis nous avons chanté,
sur d’honnêtes paroles,
les chansons des aînés...
Alors nos grands enfants
sont venus les chercher, à la tombée du soir,
sur des mains agitées,
sur des baisers mouillés,
les portes ont claqué,
le regard s’est perdu
au tournant de l’allée
Ce soir ma douce, il nous faudra
en découdre à nouveau
avec un grand silence...
Papabul
Petit bonhomme
Ne te contente pas du destin,
Ne t’autorise aucune excuse,
Prends-toi en main,
Sois seul responsable de tes actes,
Trouve ce courage,
Ne blâme personne,
Tu es ce que tu choisis d’être,
Aies le cran de l’admettre.
Les autres ne sont que des ombres,
Elles peuvent obscurcir ou éclairer ton chemin,
Ne les autorise jamais à s’interposer,
A décider pour toi.
Sois digne, respecte la main tendue,
Apprends à tendre les tiennes,
Et arrêtes ton cinéma,
Tu ne trompes personne,
Petit bonhomme,
Personne d’autre que toi !
La réalité est ce qu’elle est,
La vie, compliquée et fragile,
Elles seront ce que tu en feras.
Apprends à aimer ton chemin,
Ne l’interroge jamais,
Il n’a rien à dire, rien à ajouter,
Tu es le seul à connaître les réponses.
Malgré ton orgueil, tes caprices et ta suffisance,
Tu es et resteras égal à toi-même,
Bas les masques, Petit bonhomme,
Tu ne trompes que toi !
La critique est aisée mais tellement futile,
Apprends à tirer les leçons de tes propres erreurs,
De ta mythomanie, de ta folie,
Comprends, une fois pour toute,
Que tu es seul coupable de ce qui t’arrive.
Tu ne trompes plus personne,
Petit bonhomme,
Personne, d’autre que toi !
Et si tu comprends cela...
Alors peut-être qu’un jour...
Tu parviendras à t’aimer toi !
Papabul
D'autres textes sur ce lien : http://www.la-plume-et-lencrier.com/?_papabul_
Il y a bien longtemps que de publier un recueil de quelques uns de mes textes me trotte dans la tête.
Or, la poésie, n'est que rarement éditée sauf si vous avez déjà un nom.
Internet regorgent d'éditeurs qui ne voient en les auteurs que des nigauds.
Ils nous proposent de réaliser notre rêve pour un coût qui ne nous permettra jamais de rentrer dans nos frais.
Alors j'ai décidé de tout faire moi-même avec mes petites mains.
Claudie.
Le voici :
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Détails du livre : |
Un grand projet me trottine depuis longtemps dans la tête...
mais le travail, la maison, la famille, l'écriture...
Je ne parviens plus à tout faire.
J'ai demandé au Père Noël
quelques heures de plus par jour,
mais comme je ne suis pas sage,
il a refusé...
J'ai donc décidé de faire
une pause dans mes Litterrances
pour m'y consacrer
et le déposer ici. (ça c'est pour les papis et les mamies )
Ne m'en veuillez pas.
Merci à tous pour tous ces moments
de partage passés et certainement à venir,
mais j'ai besoin de quelques semaines...
J'espère néanmoins pouvoir passer de temps en temps
chez vous pour vous faire un petit coucou.
Que votre vie soit belle et douce.
A bientôt.
Bises.
Clo