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L i t t e r r a n c e s...
Merci de partager avec moi |
Je viens de découvrir un site internet "Camaléo" qui permet de mettre en ligne des projets de livres.
Personnellement je trouve le principe génial. On a vraiment l'impression de feuilleter un livre.
Que pensez-vous de cet essai (même si ce n'est pas d'actualité, quoique... si je regarde par la fenêtre, difficile de s'imaginer un 5 mai !)
(chanson sur l’air de « Alouette »)
Refrain : A Saint-Omer, le Père Batistin
Dans les marais, cultive un grand jardin.
Il cultive des choux-fleurs (x2)
Des choux-fleurs (x2)
Des poireaux (x2)
Ah !... (au refrain)
Il cultive des poireaux (x2)
Des poireaux (x2)
Des carottes (x2)
Ah !... (au refrain)
Il cultive des carottes (x2)
Des carottes (x2)
Des artichauts (x2)
Ah !... (au refrain)
Il cultive des artichauts (x2)
Des artichauts (x2)
Des tomates (x2)
Ah !... (au refrain)
Il cultive des tomates (x2)
Des tomates (x2)
Des pommes de terre (x2)
Ah !... (au refrain)
Il cultive des pommes de terre (x2)
Des pommes de terre (x2)
Batistin (x2)
Ah !...
Dors mon enfant ! Dors mon bébé !
Sur mon coeur laisse-toi aller !
Moment câlin, moment divin,
Que celui du jour qui s'éteint.
C'est ainsi mon petit chéri,
Après le jour, s'en vient la nuit,
Tu as découvert et fait tant,
Qu'il te faut dormir, maintenant.
Dors mon chéri ! Dors mon bébé !
Laisse-toi doucement bercer.
Moment câlin, moment divin,
Que celui du jour qui s'éteint.
Dans les terriers, et dans les nids,
Les lapins, les oiseaux aussi,
Contre leurs papas, leurs mamans
Se blottissent paisiblement.
Dors mon lapin ! Dors mon oiseau !
Sur mon coeur, viens faire dodo !
Moment câlin, moment divin,
Que celui du jour qui s'éteint.
Claudie Becques (28/04/2012)
(Poème pour apprendre l’alphabet et désigner
les animaux avec le doigt sur l’illustration)
Pour mieux me rappeler
Les lettres de l’alphabet,
Les animaux du monde
Ont fait une grande ronde.
Et pour te démontrer
Que je suis cultivé(e)
En énumération
Je te livre leurs noms :
L’ Antilope et l’ Ara
Représentaient le A.
Le Buffle, le Bouquetin,
Les ont vite rejoints.
Le Cheval, le Chameau
Se sont faits les plus beaux.
Le Daim et le Dauphin
Sont devenus copains :
Le Dindon qui a tout vu
En était tout ému.
L’ Elan et l’ Eléphant
Sont venus en courant,
Le Flamant lui aussi
Etait de la partie.
Le Guépard, la Gazelle
Oubliaient leurs querelles.
Monsieur Hippopotame
Est venu trouver femme.
L’ Iguane a refusé
D’être sa fiancée.
Le Jaguar s’est lassé
De devoir sautiller
Derrière le Kangourou.
Le Lion, le Marabout
En Morse ont conversé
Et ne se sont plus quittés
Mon Nounours adoré
Ne cessait de danser.
Très agile, l’ Otarie
Nous fit des jongleries.
Pélican super-chic
Etait très dynamique.
Je ne me rappelle plus
Qui illustrait le Q.
Quand le Rhinocéros
S’est fait une grosse bosse
Le Singe, le Serpent,
Le Tigre, le Toucan
N’en pouvaient plus de rire.
Pour le Uje dois dire,
Personne n’est venu.
La Vache n’a pas voulu
Manquer au défilé
Et fut l’une des plus gaies.
Moins connu le Wombat
Lui aussi, était là.
Le Xétait masqué,
Je ne sais qui c’était.
Le Yack, accompagné
Du Zèbre, terminait
La merveilleuse ronde
Des animaux du monde.
Claudie Becques (1989)
Dis, petit kangourou,
Qui bondit, qui bondit,
Petit bandit tout roux
Dans ta poche, qu’as-tu mis ?
- Pour le vieux crocodile, un paquet de mouchoirs
- J’y ai glissé aussi, un réveil pour le loir
- Il y a pour la taupe, une paire de lunettes
- Pour le petit putois, j’ai pris des savonnettes
- J’ai mis une perruque, pour la chauve-souris
- Un beau chapeau de paille, pour le petit âne gris
- J’ai prévu une brosse, pour le raton-laveur
- Ainsi qu’une bourriche, pour le martin-pêcheur
Dis, petit kangourou,
Qui bondit, qui bondit,
Petit bandit tout roux
Ne m’as-tu pas menti ?
- J’avoue que j’ai peut-être, un peu exagéré
- Ce que j’ai dans la poche, vois-tu, c’est un secret !
Claudie Becques (21/04/2012)
Il y a de ça, quelques années,
Au lavoir, les mamans allaient
Avec leur linge, pour le laver.
C’était dur, pourtant elles chantaient :
Allez, mes mains, frottez ! Frottez !
Frotter les poings l’un sur l’autre
Allez, mes mains, tapez ! Tapez !
Taper le poing sur l’autre, une fois dessus, une fois dessous
Allez, mes mains, rincez ! Rincez !
Balancer les mains doigts vers le bas
Allez, mes mains, tordez ! Tordez !
Tourner les petits poings comme on tord.
Aujourd’hui, tout ça a changé
On a une machine à laver
Et pendant qu’on l’entend tourner,
Ma maman peut me câliner.
Plus besoin de frotter, frotter.
Frotter les poings l’un sur l’autre
Plus besoin de taper, taper.
Taper le poing sur l’autre, une fois dessus, une fois dessous
Plus besoin de rincer, rincer.
Balancer les mains doigts vers le bas
Plus besoin de serrer, serrer.
Tourner les petits poings comme on tord.
C’est la machine qui le fait !
Mouliner les avant-bras doucement puis plus vite.
Dis, maman !
La petite souris,
Où trouve-t-elle l’argent
Qu’elle glisse la nuit,
Dessous notre oreiller ?
Dis, maman !
Que fait donc la souris,
De nos petites dents,
Qu’elle vient chercher la nuit,
Dessous notre oreiller ?
Les enfants,
La petite souris
Revend vos petites dents,
A un monsieur gentil,
Qui fait des dentiers.
Les enfants,
Grâce à vous, la souris
Permet aux grands-parents
Dont les dents sont parties,
D’avoir de beaux dentiers !
Claudie Becques (14/04/2012)
Mais qui est donc Gédéon ?
Gédéon avance,
Il avance doucement
Gédéon se cherche,
Il demande tout le temps :
« Savez-vous donc qui je suis ? »
Mais on lui répond :
« Je ne vois pas, demande à lui ! »
Lui, c’est le poisson
Qui nage au fond de l’eau bleue,
« Qui suis-je petit poisson ? »
Demande Gédéon bleu
Mais petit poisson répond :
« Je ne vois pas, demande à lui ! »
Lui, c’est le lapin
Qui court dans son pré tout vert,
« Qui suis-je petit lapin ? »
Demande Gédéon vert
Mais petit lapin répond :
« Je ne vois pas, demande à lui ! »
Lui, c’est un bourdon
Qui survole un champ tout jaune,
« Qui suis-je petit bourdon ? »
Demande Gédéon jaune
Mais petit bourdon répond :
« Je ne vois pas, demande à lui ! »
Lui, c’est un oiseau
Qui picore une pomme rouge,
« Qui suis-je petit oiseau ? »
Demande Gédéon rouge
Mais petit oiseau répond :
« Je ne vois pas, demande à lui ! »
Lui, c’est un pingouin
Qui vit au paradis blanc
« Qui suis-je petit pingouin ? »
Demande Gédéon blanc
Mais petit pingouin répond :
« Je ne vois pas, demande à lui ! »
Lui, c’est l’arc en ciel
Qui est tout multicolore
« Qui suis-je donc arc en ciel ? »
Demande Gédéon multicolore
Et l’arc en ciel lui répond :
« Tu es un caméléon ! »
Gédéon avance,
Il avance fièrement
Gédéon avance,
Quand il demande maintenant :
« Qui suis-je ? Quel est mon nom ? »
Tout le monde lui répond :
« Tu t'appelles Gédéon,
Tu es un caméléon ! »
Claudie Becques (14/04/2012)
(Comptine pour faire sauter les bébés sur les genoux)
Pour aller à la fête,
A la fête du printemps
Sur le dos d’une bête,
Pour que ce soit moins fatiguant
Je suis monté –é-é-
A califourchon –chon-chon
La première j’ai trouvé –é-é
Allons-y, allons-zon…
A ses cornes, bien cramponné
Un escargot m’a emmené
Mais au train où il avançait,
La fête aurait été passée,
Alors je l’ai abandonné
Et j’ai continué à pied…
Pour aller à la fête,
A la fête du printemps
Sur le dos d’une bête,
Pour que ce soit moins fatiguant
Je suis monté –é-é-
A califourchon –chon-chon
La seconde j’ai trouvé –é-é
Allons-y, allons-zon…
A ses oreilles, cramponné
Un éléphant m’a emmené
Mais au train où il avançait,
La fête aurait été passée,
Alors je l’ai abandonné
Et j’ai continué à pied…
Pour aller à la fête,
A la fête du printemps
Sur le dos d’une bête,
Pour que ce soit moins fatiguant
Je suis monté –é-é-
A califourchon –chon-chon
La troisième s’est présentée –é-é
Allons-y, allons-zon…
A ses deux bosses, cramponné
Un vieux chameau m’a emmené
Mais au train où il avançait,
La fête aurait été passée,
Alors je l’ai abandonné
Et j’ai continué à pied…
Pour aller à la fête,
A la fête du printemps
Sur le dos d’une bête,
Pour que ce soit moins fatiguant
Je suis monté –é-é-
A califourchon –chon-chon
La quatrième est arrivée –é-é
Allons-y, allons-zon…
A sa fourrure, cramponné
Un koala m’a emmené
Mais au train où il avançait,
La fête aurait été passée,
Alors je l’ai abandonné
Et j’ai continué à pied…
Pour aller à la fête,
A la fête du printemps
Sur le dos d’une bête,
Pour que ce soit moins fatiguant
Je suis monté –é-é-
A califourchon –chon-chon
Une cinquième est arrivée –é-é
Allons-y, allons-zon…
Cramponné à mon hirondelle
On est partis à travers ciel
On a foncé à tire-d’aile
Car le printemps n’attendait qu’elle
Pour que la fête soit vraiment belle.
On a dansé-é-é
Toute la saison-zon-zon
Mais je suis fatigué-é-é…
Rentrons à la maison !