Comme Petit Poucet je sème mes poèmes
En traversant la vie et chaque carrefour ;
Pour le cas où le temps effacerait un jour,
De ma mémoire tous mes doux rêves bohême.
Si la vieillesse arrive à casser ma boussole,
Que la sénile brume engourdit mon cerveau,
Que ma raison réside à son plus bas niveau,
Que je ne sois en fait, plus qu’une vieille folle,
Resteront ces feuillets pour mes petits-enfants.
Mon âme alors pourra, au gré de leur lecture,
Rebrousser le chemin, revivre l’aventure,
A mille lieux de là… mais humaine pourtant.
Claudie Becques le 28/10/2010
Marie 02/12/2010 10:53
Clo 04/12/2010 14:23
aimela 02/10/2010 11:25
Clo 03/10/2010 10:51
Solange 02/10/2010 02:14
Clo 03/10/2010 10:49