14 juin 2017
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Aux premières lueurs de la frileuse aurore,
Qu’importe la saison et quel que soit le temps,
La grand ’place s’éveille de façon sonore,
Rendez-vous du mardi, cher à ses habitants.
Les parapluies dressés, lestés de poids en fonte
Bravent tous les caprices de la météo.
Les étals sont remplis, d’une manière prompte,
Offrant leur multitude au regard des badauds.
Dans la file d’attente de la chevaline,
Les Arquois se saluent en sortant leur accent.
Puis ils font leurs achats au gré d’une routine
Et volubiles haltes qui durent longtemps…
Alors le carillon du toit de la mairie
Leur tintinnabule un gentil rappel à l’heure.
Les visages fautifs se tournent vers Marie,
Et tous pressent le pas pour gagner leur demeure.
Qu’importe la saison et quel que soit le temps,
La grand ’place s’éveille de façon sonore,
Rendez-vous du mardi, cher à ses habitants.
Les parapluies dressés, lestés de poids en fonte
Bravent tous les caprices de la météo.
Les étals sont remplis, d’une manière prompte,
Offrant leur multitude au regard des badauds.
Dans la file d’attente de la chevaline,
Les Arquois se saluent en sortant leur accent.
Puis ils font leurs achats au gré d’une routine
Et volubiles haltes qui durent longtemps…
Alors le carillon du toit de la mairie
Leur tintinnabule un gentil rappel à l’heure.
Les visages fautifs se tournent vers Marie,
Et tous pressent le pas pour gagner leur demeure.
Claudie Becques (ARQUES, ma ville des Hauts de France)
valerie 15/12/2020 09:47
Becques Claudie 15/12/2020 19:51